3 MAUVAISES raisons de NE PAS s’inscrire au congrès !

Laissez-moi vous démontrer en quoi organiser ou venir au congrès annuel n’est finalement pas si coûteux au regard des apports, nous fait collectivement gagner du temps et bénit nos ministères.

Ça prend beaucoup de temps à tout le monde ! 
Organiser et venir à un congrès prend du temps ! Du temps que bien souvent nous n’avons pas, ni vous… ni nous… Et pourtant, la question pourrait se poser en d’autres termes. 

  • Il y a dans toute relation, avec ses pairs, une grande vertu nommée “encouragement” :
    • je réalise alors bien souvent que je ne suis pas le seul, la seule, à vivre ce que je vis, et ça fait vraiment du bien de le savoir…
    • Cette question qui me taraude (ou que je n’ose pas -encore- me poser) a déjà trouvé réponse ailleurs et pour d’autres…
    • Il y a aussi dans tout projet, un réel gain de temps à regarder comment d’autres ont procédé et pourquoi, afin d’éviter erreurs ou détours chronophages…  Vivons le congrès comme une façon des’asseoir pour calculer la dépense et voir si l’on a de quoi terminer” la tour. Nos églises ont tout de même un bon nombre de défis communs. 
  • Déjeuner ensemble, partager nos pratiques en ateliers, prier, louer Dieu…  Et la glace est brisée ! Et la relation peut s’installer, devenir partage et porter du fruit pour la gloire de Dieu. 

Ça coûte cher !  
Oui c’est vrai, c’est un coût non négligeable, pour l’église et pour l’Entente. Est-ce un investissement rentable et nécessaire ? Nous le croyons fermement !  

Imaginez à quoi ressemblerait une union d’églises où les hommes et les femmes ne se verraient jamais ou que virtuellement…  La relation fait partie de notre identité d’enfants de Dieu, elle fait partie de notre témoignage chrétien, elle est la base de la communion fraternelle. Plus que rentable, c’est un investissement existentiel !  Un congrès annuel crée, forge et entretient les relations.   

Nous avons d’autres occasions d’entendre des messages ressourçants…  
Le congrès reste néanmoins la seule et unique occasion annuelle de le faire ensemble, au même moment, à partir du même texte biblique éclairé par le St Esprit. Dieu se plait à voir ses enfants se rassembler, c’est là qu’est la bénédiction nous rappelle le Psaume 133.
Sans chercher forcément à vivre les temps de chapelle d’Asbury* au Kentucky (quoi que… pourquoi pas après tout !), reconnaissons que le rassemblement de celles et ceux qui écoutent et louent Dieu ensemble apporte de la vitalité et parfois même un renouveau spirituel dans le service. 

On en reparle ensemble, après Vichy ? 
Congres.caef.net  

Nathalie D
p/le comité d’organisation

 

*Ecouter l’avis de Derek Sutherland, pasteur CAEF à St Etienne, interrogé par Florent Varak sur TPSG: Que penser du réveil d’Asbury? (Épisode 354) 

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